Samedi après midi, les féminines recevait montlucon. Malgré un avantage de 3-1, les filles n’ont pu conserver ces 2 buts d’avance, et finissent le match sur le score de 3-3

Samedi soir, l’équipe fanion recevait Varennes/Têche. Elle conserve son invincibilité à domicile en championnat en obtenant le nu 1-1.

Obtenir est le terme exact, tant l’équipe visiteuse a dominé les débats durant 90 minutes. Ce sont pourtant les Neuillyssois qui ouvraient le score les 1ers par l’intermédiaire d’Adrien BLETTERY. Mais à force de subir, de rendre les ballons, et de manquer de justesse technique dans les contres, Varennes allait égaliser juste avant la mi-temps.

Et pour une fois, les Neuillyssois n’allaient pas se réveiller pendant le 2ème acte…l’horaire avancée du match peut être qui a bouleversé les organismes… Les Neuillyssois continuaient de subir, mais Max BESSAIE restait vigilant dans les buts. L’ASN aurait même pu réussir le hold up parfait en fin de match, mais Max MARTIN avait oublié qu’il n’était pas gaucher, et sa frappe passait à coté.

Au vue de la physionomie du match, c’est donc un bon point pris par l’ASN. Clôture de la phase aller dimanche avec un déplacement à Montluçon…on en salive d’avance!!!

Dimanche, l’équipe réserve recevait le leader de sa poule.

Outre le fait que de bons joueurs sont présents dans cette équipe, la première mi-temps fût partagée et Romain gagnait son face à face contre l’attaquant visiteur suite à une erreur de lecture de couleur de maillot (cela dit très très ressemblant donc excusable). A 10 minutes de la fin, les visiteurs marquent facilement avec l’aide de leur arbitre de touche qui assume pleinement le fait de ne pas pouvoir lever le bras car il faut bien gagner!
Après quelques échauffourées, et une installation bien connue du culte de la peur, les visiteurs continuent sur le même principe juste avant l’entrée dans les vestiaires, histoire d’assoir son ascendant psychologique sur l’arbitre de la rencontre.

Les deux remplaçants locaux ont dû rentrer durant le premier acte pour suppléer aux deux blessés, laissant le pauvre dirigeant seul sur le banc et sous la pluie!

Deuxième mi-temps sur la même lancée (tant qu’à faire) où le fair-play avait même du rester aux vestiaires, les noms d’oiseaux fleurissent malgré une triste météo à l’image d’une équipe qui marque de nouveau par deux fois.

Le leader reste donc leader et nous leurs souhaitons de le rester afin de ne plus avoir à les rencontrer.